Organização Cultural de Defesa da Cidadania - Entidade Apartidária

segunda-feira, 17 de março de 2014

Indignations au pluriel et indignation vue du Brésil.


 

Avant de plonger dans la question de l’indignation au Brésil, venons-en aux faits qui ont déclenché cette envie d’en parler: les circonstances internationales depuis 2008, avec les retombées en 2011 jusqu’aujourd’hui qui n’ont pas fini de surprendre et qui auront certainement des conséquences plus profondes dans le monde, même dans la diplomatie mondiale ! Une chose est bien claire: le monde est plus petit que jamais sans plus d’espace d’expansion pour ceux qui ont pris l’habitude de grandir ou de recommencer leur vie ailleurs. D’espace géographique terrestre bien sûr. Attendant le moment que la Stratosphére et le monde des bas-fonds des océans connaissent le triste sort de l’Ouest Américain et de la découverte des Amériques ou de l'Afrique: une exploitation sauvage au détriment de la nature et de ceux qui y vivent naturellement, dits indigénes, signifiant dispensables, grains de sable qui entravent l’évolution économique et empêchent de créer de bons emplois, bien payés (du moins c'es ce que prétendent ceux qui dirigent nos destins).

L’ironie de l’Histoire, c’est qu’elle se sert de petites excuses pour provoquer de profonds changements dans le pouvoir jusqu’alors établi. Ce fut le cas avec ce vendeur ambulant tunisien qui sacrifia sa vie, fatigué de se soumettre á un systéme bouffeur d’hommes. Il ne pouvait pas s’imaginer la formidable explosion locale qui allait s’en suivre. Et les tempêtes déclenchées en Méditerranée surtout, sans distinguer de quel côté des continents qui s'y baignent. Il ne pouvait pas savoir que sa saturation, son envie de respect á sa dignité humaine est partagée de millions d’âmes qui ne comprennent plus pourquoi dans un monde moderne l’être humain est traité de façon méprisable !

Nous parlerons ensuite de l ‘indignation au Brésil. Mais, pour essayer de rendre la lecture moins compliqué, il est préférable d’aborder ce sujet par étape. On y verra indignation au Brésil et banalisation des faits qui entravent toute politique chargée de corriger l’absurde distortion sociale.

Toufic Attar

17/3/2014

PS : rappelez-vous : cette année 100 ans, I Siécle, de la Premiére Guerre Mondiale. Avec des conséquences jusqu’á nos jours ! Expliquer les choses nécéssite un plongeon dans un passé bien douloureux ! Mais il faut le faire si nous voulons retouver la liberté et la dignité de vivre au bout du chemin.

A demain.

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